Enjeux paysagers et |
L’île-aux-Moines (Morbihan)
Mission
Diplôme
Équipe
Julie Colin, en collaboration avec le Conservatoire du Littoral Bretagne et la Commune de L’Ile-aux-Moines Tuteur : Alain Freytet, paysagiste d.p.l.g. Projet personnel |
Les courants du golfe du Morbihan
Entre terre et mer,
L’île-aux-Moines est la perle du
Golfe du Morbihan.
Entre afflux touristique,
protection du littoral,
et maintien des habitants à
l’année, comment entretenir
les paysages de l’île?
Marées et courants fluviaux ont façonné le relief et créé un paysage complexe de l’entre-deux, mêlant la végétation de l’estran et des vasières aux bosquets de pins qui consolident les côtes au vent.
La population de l’île se voit multipliée par 10 en été, entre les résidents secondaires et les touristes à la journée. La fin de l’agriculture et le désintéressement privé pour l’entretien des terrains non-bâtis ont produit des paysages de friche, non-conformes aux attentes touristiques. Le Conservatoire du Littoral aquiert petit à petit les parcelles et cherche à les valoriser.
Dans un premier temps, il faut réidentifier les circuits touristiques pour une meilleure diffusion du flux, et réduire les nuisances dues à la «surpopulation». Un certain nombre d’actions concrètes sont nécessaires pour aménager des passages et valoriser les points de vues.
A moyen terme, il faut lutter contre l’extension urbaine (résidences secondaires) et la fermeture des paysages de l’île. Il faut lui conserver son paysage mosaïque, favorable à la biodiversité et au tourisme. La fin de l’agriculture insulaire (potagers, parcelles privées) appelle des solutions extensives mises en place par la collectivité sur des sites exemplaires.
La population de l’île se voit multipliée par 10 en été, entre les résidents secondaires et les touristes à la journée. La fin de l’agriculture et le désintéressement privé pour l’entretien des terrains non-bâtis ont produit des paysages de friche, non-conformes aux attentes touristiques. Le Conservatoire du Littoral aquiert petit à petit les parcelles et cherche à les valoriser.
Dans un premier temps, il faut réidentifier les circuits touristiques pour une meilleure diffusion du flux, et réduire les nuisances dues à la «surpopulation». Un certain nombre d’actions concrètes sont nécessaires pour aménager des passages et valoriser les points de vues.
A moyen terme, il faut lutter contre l’extension urbaine (résidences secondaires) et la fermeture des paysages de l’île. Il faut lui conserver son paysage mosaïque, favorable à la biodiversité et au tourisme. La fin de l’agriculture insulaire (potagers, parcelles privées) appelle des solutions extensives mises en place par la collectivité sur des sites exemplaires.